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1 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentMarie-Claire Blais: parcours d'un écrivain (5 de 10)
Date de création 1997-12-05
Durée du segment00:29:41
InvitésBlais Marie-Claire, auteur; Bouchard Danielle, comédienne, lectrice
ArtisansDurand Monique, réalisatrice
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméMarie-Claire Blais parle de sa maison dans les Cantons-de-l'Est. Elle y vit seule et cette solitude qui lui pèse, l'aide également à écrire, ce qui est le plus important dans sa vie. L'atmosphère y est agréable et invite au recueillement et au travail. Elle raconte ensuite ses quatre années en Bretagne. Chaque semaine elle se rend à Paris pour voir des amis auteurs et se nourrir de la vie parisienne. Elle se tient dans un petit café, "Le temps perdu", à Saint-Germain-des-Prés. C'est une époque où elle a beaucoup écrit. C'est avec joie qu'elle revient au Québec pour revoir ses amis, sa culture. Elle s'installe dans les Cantons-de-l'Est et se rend fréquemment à Montréal. Nous sommes en 1975. Puis, elle décidera de passer ses hivers à Key West aux États-Unis, qu'elle considère comme sa patrie spirituelle, et ses étés dans sa maison des Cantons-de-l'Est. Elle explique pourquoi elle considère les États-Unis comme sa famille de coeur et d'esprit. D'abord par l'importance qu'Edmund Wilson a eu dans sa vie. Puis, à cause de tous ses amis américains qu'elle a connus dans les années 1960. Enfin, elle considère les États-Unis comme un pays jeune, plein de vitalité, où les choses bougent, où les droits de la personne sont importants. Elle trouve dommage que les intellectuels québécois n'aient pas cette opinion en général sur les États-Unis. Plusieurs voyages l'attendent. Elle dit qu'elle aime sa vie de nomade qui nourrit un besoin d'enivrement de connaissances. De la musique sur disques complète l'émission.
Mots clésÉtats-UnisFranceLittératureRomanSouvenirs
Remarques sur
le document
Cette émission a été rediffusée le 1999-05-30 dans le cadre de l'émission "Séries diverses".
Identifiant1802301
Mise à jour 2019-03-07
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2 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentLes carnets d'André Major (3 de 8)
Date de création 1997-12-17
Durée du segment00:58:25
InvitésMajor André, réalisateur, écrivain
ArtisansLépine Stéphane, réalisateur, animateur; Major André, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméPour souligner l'apport exceptionnel d'André Major à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada (il est réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivian et le réalisateur André Major.

Troisième carnet: Une mythologie de la désertion (1971-1976) : André Major relate ses années d'errance et de découvertes en France au début des années 1970, une façon, dira-t-il, de renouer avec les lieux des oeuvres lues, mais aussi de se libérer de la conscience de la "Québéssitude"; c'est à distance qu'il suivra la Crise d'octobre au Québec. Cet exil volontaire l'amène doucement à définir son style d'écriture qu'il souhaite avant tout un dépassement du réel; c'est alors qu'il esquisse les premiers traits du personnage de Momo Bélanger, héro de sa trilogie "Histoires de déserteurs". Il fait découvrir aux auditeurs l'univers d'auteurs étrangers qui l'ont marqué. Il cite Faulkner, Flaubert et la musicalité du langage dans ses textes, des auteurs russes (Tynianov, Tchékhov, Babel) qui l'ont influencé et qui se traduit dans son oeuvre par l'économie de mots de ses personnages. Il parle de sa découverte des auteurs contemporains sud-américains (Borges, Onetti, Saer) et de leur proximité avec l'oeuvre de Faulkner, particulièrement dans l'ampleur tragique des comportements quotidiens. De l'oeuvre de l'écrivain norvégien Knut Hamsun, et chez les auteurs scandinaves en général, il retient l'importance de la place de la nature avec laquelle il a lui-même une approche très sensuelle. Il cite aussi Witold Gombrowicz, un auteur polonais très significatif pour lui. Enfin, André Major explique les raisons qui l'ont poussé à écrire son journal, un refuge, dit-il, qui lui permettait de s'exprimer à l'abri des courants dogmatiques à l'époque des années 1970.
Émission ponctuée de pièces musicales.
Mots clésFranceGauche politiqueLittératureLittérature étrangèreLittérature françaisePolitiqueRomanSouvenirs
Remarques sur
le document
Cette émission a été rediffusée le 1998-08-02 dans le cadre de l'émission "Séries diverses".
Identifiant1260306
Mise à jour 2019-03-07
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3 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentLes carnets d'André Major (7 de 8)
Date de création 1997-12-23
Durée du segment00:58:31
InvitésMajor André, réalisateur et écrivain
ArtisansLépine Stéphane, réalisateur, animateur; Major André, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméPour souligner l'apport exceptionnel d'André Major, réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans (à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivain et le réalisateur André Major.

Septième carnet: Premiers vagabondages d'André Major.

Il souligne le besoin d'errance dans l'écriture et la lecture qui permet l'aventure. Il oppose au style spectacle le style pauvre qui permet une transparence et une justesse dans l'écriture. Il évoque le désir d'une vérité absolue, la fuite comme une métaphore de l'art, l'étouffement d'un rôle de personnage qu'on accepte tacitement de jouer, le sentiment d'imposture de l'écrivain, la joie qu'il trouve dans les petits miracles, le sourire de Tchekhov, la littérature comme une longue histoire de trous qu'on cherche à remplir, sa recherche de l'intensité littéraire dans le quotidien, sa tentation de tout quitter pour aller vivre en Provence, le malaise inhérent à l'existence, le souvenir des petites misères, l'évacuation du père par la culture québécoise, le pari pour l'avenir de Tchekhov et son indépendance d'esprit, ses origines troubles et sa rencontre avec Germaine Guèvremont. Les diverses réflexions sont accompagnées de musique.
Mots clésConsidérations littérairesCultureFranceLittératureLittérature étrangèreRomanSouvenirs
Remarques sur
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Cette émission a été rediffusée le 1998-08-30 dans le cadre de l'émission "Séries diverses".
Identifiant1798664
Mise à jour 2019-03-07
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4 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (7 de 20)
Date de création 1998-05-12
Durée du segment00:58:20
InvitésDe Billy Hélène, auteur, biographe de Jean-Paul Riopelle; Leduc Fernand, peintre, signataire du Refus global; Bourassa André, historien
ArtisansDenis Jean-Pierre, réalisateur, animateur; Marchand Jean
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméSeptième volet de la série: les jeunes et Borduas. Riopelle et Leduc vont tenter fortune en France. Le nid se vide, le mouvement automatiste s'estompe. Lecture d'une longue lettre de Borduas qui révèle le statut qu'il détenait dans le groupe, soit celui d'un père plutôt que d'un chef, et qui témoigne de la première dissension avouée publiquement entre Riopelle et Borduas. Entrevue avec Hélène de Billy, biographe de Jean-Paul Riopelle: la nature de la relation entre Borduas et Riopelle, ce qui se joue entre les deux hommes dès l'École du meuble; le départ de Riopelle pour la France en 1947; Marcel Barbeau et Riopelle à l'époque de l'atelier de la ruelle. Hélène de Billy évoque la question de la rivalité entre Borduas et Riopelle, mais aussi la fierté qu'avait Borduas pour Riopelle, entre autres, au moment de l'exposition des deux Jean-Paul (Mousseau et Riopelle) chez Muriel Guilbault, l'échange épistolaire entre les deux hommes lors du séjour de Riopelle à Paris et les rencontres parisiennes de Riopelle avec Pierre Loeb, célèbre marchand de tableau, le surréaliste André Breton et l'artiste Antonin Artaud. Le peu de place donnée à Borduas dans la biographie de Riopelle. L'attachement de ce dernier pour le peintre Ozias Leduc. Le refus de Paul-Émile Borduas et de Fernand Leduc, un an avant Refus global, de participer à l'exposition surréaliste d'André Breton. Le style artistique de Riopelle qui se détache de l'automatisme qu'il voit comme un cul de sac. Fernand Leduc rappelle les circonstances qui ont mené à la rupture avec Paul-Émile Borduas. Lecture d'une lettre du 13 décembre 1948 de Fernand Leduc adressée à Paul-Émile Borduas où il fait part de ses réserves et lui fait valoir la nouvelle vision du monde qu'il a hérité de son nouveau maître spirituel Raymond Abellio.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureExpositionsFranceParisSurréalisme
Identifiant1263923
Mise à jour 2019-03-07
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  • France
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1995-1999 (4)
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